vendredi 13 mars 2015

Les grandes valeurs essentielles de la Médecine générale.

Servant de premier recours pour le patient, le médecin généraliste se doit d’être apte à mettre en évidence les éventuelles maladies qui nuisent la santé de cet individu. En l’occurrence, une approche globale est alors entamée par le généraliste, afin d’analyser tous les précieux détails pouvant servir de signaux, afin de confirmer le diagnostic établi. Les suivantes seront alors la continuité et la coordination des soins, en vue de ne laisser sous aucun prétexte une lacune au cours du traitement, c’est-à-dire qu’une assistance permanente demeure une responsabilité capitale du médecin vis-à-vis de son patient. Mais aussi, le médecin généraliste a un devoir en matière de prévention et promotion de santé à travers le cercle social.

Les principes fondamentaux du contexte.

D’un point de vue global, il faut avant tout dilater le champ d’activité aux divers requis du patient. le médecin se doit de répondre aux divers recours concernant les soins et centrer sa démarche sur le patient. C’est alors à travers cette marche que ce professionnel puisse tenir compte de l’environnement de son patient afin de gérer simultanément les plaintes et assurer un suivi attentionné de l’évolution du processus. Et toutes ces pratiques en sachant évaluer un rapport favorable entre le
coût et l’efficacité.

Les compétences requises chez le médecin généraliste.

Avant tout, le docteur doit être capable de prendre en charge un problème de santé en contexte de soin primaire, suite à une claire communication entre lui et le patient. Tout en tenant compte des divers enjeux et contraintes, il doit savoir prendre une décision ferme par rapport au mode de traitement. Il doit alors  dégager des qualités techniques relatives au contexte, dans le but de rassurer le patient à propos de ce qu’il compte effectuer. Mais à part tout cela, le docteur généraliste a aussi un rapport avec la gestion administrative, financière, humaine et même structurelle au sein de l’entreprise médicale.


mercredi 11 mars 2015

Un médecin généraliste, le premier à intervenir dans le domaine sanitaire

En effet, un médecin généraliste, est le premier passage des malades. C’est la personne qui intervient pour les premiers secours et ce n’est qu’après diagnostique de la santé du patient que le traitement ou l’opération sera établie. Le médecin déclare que le traitement du sujet pourrait être à son corde ou pas. Il peut intervenir sur un terrain très vaste, mais pour les cas particuliers, il faut de la spécialisation afin de pouvoir s’occuper du malade, comme par exemple, l’état d’un patient qui pourrait avoir une chirurgie ou autres. La médecine générale est en fait, une spécialité médicale qui ne prend en charge que le suivi durable, le bien-être et les soins médicaux généraux primaires d’une personne atteinte. 

Le domaine d’intervention d’un médecin généraliste

En réalité, la médecine générale ne se limite pas seulement, à des soins primaires mais également au bon fonctionnement physiologique d’un malade, il veille à ce que l’état de santé du patient s’améliore ou reste en parfait état. Il ne se limite pas non plus à l’âge de la personne ou à son sexe. Les médecins généralistes traitent leurs patients soit au sein d’un service hospitalier soit dans un cabinet à titre privé. Il est confronté à des cas variés, grave ou moins grave, dès que la nature de la maladie est dans ses corde. 

Comportement d’un médecin généraliste

Aucun médecin n’est différent vis-à-vis de leur engagement par rapport à la société. Il doit obligatoirement être sociable et connait le savoir vivre. Il existe parfois des patients très agressifs mais un médecin doit respecter son serment et veiller au bien être de son entourage. Tel est le caractère qu’un médecin doit avoir, vivre avec la société et s’engager à respecter la loi médicale. Vous pouvez vous référez sur ce sujet en s’adressant à Hervé Zacharie, un médecin généraliste digne de ce nom.

L’aspect global de la médecine généraliste.

Le domaine de la médecine généraliste est construit sur une base théorique contraire à celui de la médecine spécialisée bien qu’ils mettent en avant des connaissances biomédicales de bases communes. Elle engendre un sujet unanime, centré sur le patient, accessible en dehors, observant la maladie comme l’ensemble des germes organiques, humains et environnementaux. Cette notion nécessite une école d’apprentissage spécifique, issu des sciences biologiques dans le but d’acquérir des compétences scientifiques et cohérentes. Elle doit centrer sur un approfondissement perfectionniste qui permet d’affiner et de confirmer son contenu. Cet aspect global assimile les fonctions précises de la médecine générale c'est-à-dire le premier recours, la prise en charge complet, la continuité et le suivi, la coordination et la gestion des soins…

Les compétences requises pour un médecin généraliste.

En tant que premier recours, le médecin généraliste doit être en mesure d’évaluer toutes les maladies
possibles d’affecter une personne. Il se charge des diagnostiques et de la prise de décision finale. En tant que tel, il doit savoir répondre à la majorité des motifs de recours aux soins, intervenir au stade précoce des maladies, gérer simultanément les plaintes et les pathologies multiples, effectuer une suivie à long terme, coordonner les soins, et surtout demeurer efficace. Il est donc évident qu’il possède des connaissances approfondis en médecine générale pour pouvoir endosser ces responsabilités et répondre aux attentes des usagers.

L’efficacité est le propre du médecin généraliste.

Le traitement des maladies encombre une tâche difficile pour les généralistes et demande des solutions simples tout en évitant une évolution défavorable. La proximité, la continuité et la coordination des soins, la connaissance de l’environnement du patient favorise la réponse médicale. Hervé Zacharie est un médecin généraliste qui préserve les notions de coût/efficacité et de coût/utilité c'est-à-dire qu’il restreint les coûts à leur vrai besoin et suggère au patient une attitude argue en termes de consommation de soins médicaux.